sabordage !
Une chaine humaine fragile et précieuse.
Enfonçons des portes ouvertes : l'Humain est autodestructeur. Il est en haut de l’échelle alimentaire. Il est devenu son propre régulateur. Mais quels chemins prend-il pour s’annihiler ?
Une chaine humaine fragile et précieuse.
Le gros sabordage est une pièce de cirque. Un cirque créateur de débats. Un cirque humain ou il est question d’équilibres et de situations absurdes, de beauté et d’autodestruction.
Histoire d’une foule en colère mais qui ne sait pas pourquoi.
Sabordage n’est l’histoire de personne en particulier. Ni la vôtre, ni la nôtre, ni celle du voisin. C’est l’histoire d’un mensonge fait à l’homme par l’homme : le mirage de son importance, le piège de son existence,l’art de se persuader que sa route ne mène pas à une mort certaine.Un cirque humain où il est question d’équilibres et de situations absurdes, de beauté et d’autodestruction. Dans ce monde aux mauvaises règles du jeu, aucune réponse n’est la bonne.Une fable sans drame, sans catastrophe ni cynisme à la con ; en fait c’est une blague, une farce, une imposture !
Coproductions : Théâtre d'Arles - scène conventionnée art et création / nouvelles écritures, Archaos - Pôle National des Arts du Cirque Méditerranée, La Passerelle - Scène Nationale de Gap, Circa - Pôle National des Arts du Cirque Auch Gers Occitanie, Pôle Arts de la Scène – Friche la Belle de Mai, Plateforme 2 Pôles Cirque en Normandie - Cirque-Théâtre d’Elbeuf et la Brèche à Cherbourg
Soutiens : Théâtre Massalia, Citron Jaune - Centre National des Arts de la Rue et de l’Espace Public à Port St Louis du Rhône, PôleJeunePublic - Scène conventionnée et Cie Attention Fragile - Ecole Fragile, Karwan.
Sabordage a reçu l’aide du Conseil Régional Provence-Alpes-Côte d’Azur, de la DRAC PACA, de la DGCA et du Conseil Départemental des Bouches du Rhône
Sabordage ! est une pièce courte de cirque pour 4 acteurs/acrobates. Un cirque d’auteur créateur de débats. Un cirque humain ou il est question d’équilibres et de situations absurdes, de beauté et d’autodestruction.
Sabordage n’est l’histoire de personne en particulier. Ni la vôtre, ni la nôtre, ni celle du voisin. Une fable sans drame, sans catastrophe ni cynisme à la con ; en fait c’est une blague, une farce, une imposture !
5 personnes, dans un espace mouvant, évoluent entre l’amour et la mort. Les obstacles sont volontairement nombreux, le risque est calculé pour être déraisonnable. Ils avaleront des couleuvres avec entrain, boiront des mers et des océans rien que pour vos beaux yeux !
Comme le serpent qui se mord la queue, dans ce monde aux mauvaises règles du jeu, aucune réponse n’est la bonne.
Pendant la création de Sabordage !, nous avons eu la proposition de Lieux Publics de faire une « Sirène et Midinet » avec La Mondiale générale. Le principe est de proposer un moment spectaculaire le premier mercredi du mois sur le parvis de l’Opéra de Marseille, entre les deux coups de sirènes des pompiers (soit une durée d’environ 12 minutes).
Nous avons sans hésiter, comme à l’accoutumé, chercher à intégrer cette commande à notre projet Sabordage, par le partage des thèmes, des matériaux et de l’équipe de création. Un des enjeux principaux a été de profiter de cette opportunité pour faire un pas de côté.
« Sirène et Midinet » est par essence une commande qui ne jouera qu’une fois (c’est du moins comme ça qu’on l’a pris). Ce qui nous permettait de sortir des injonctions qu’impose un spectacle qui tourne (régie de tournée, compétitivité financière, adaptation et compromis à chaque implantation).
On s’est donc permis de mettre en scène une lapidation. C’est sans aucun doute la proposition la plus clivante que nous ayons faite. Puisque nous voulions que ce soit le public ait le choix de lapider (ou non) notre cher Sylvain JULIEN, nous ne pouvions pas réellement répéter la séquence. Grace à un gros travail de préparation (une partition physique solide, un travail avec des amateurs complices, récupération de projectiles fruitiers, etc.) et un soutien sans censure de Lieux Publics, nous avons le sentiment d’avoir réussi notre pari.
Ce moment reste comme une parenthèse créative où une forme de militantisme s’est imposée et nous l’avons portée avec surprise et engagement.